- Revue de presse et médias sur le CN


Conseil national du FFS

Cinq mois après le 4e congrès du parti qui s’est tenu les 5 et 6 septembre dernier, le premier secrétaire national du FFS, Karim Tabbou, a enfin désigné son secrétariat national.

Les raisons de ce retard sont dues à la crise qui mine encore le FFS, affirment des sources proches de ce parti, tandis que M. Tabbou a indiqué jeudi qu’«il n’y a aucun problème au FFS». Hier en fin d’après-midi, aucune information n’a filtré quant à l’identité de la composante de la nouvelle équipe. Une source proche du conseil national du FFS s’est contentée d’affirmer que celle-ci «est composée d’anciens secrétaires nationaux reconduits ainsi que de nouveaux désignés parmi les membres du conseil national». La composante du nouveau staff sera dévoilée dimanche lors d’une conférence de presse qui sera organisée par le premier secrétaire du parti.   Par ailleurs et dans une déclaration préliminaire faite à l’ouverture des travaux de ce conseil national, Tabbou a estimé que

«le pays vit une situation paradoxale». Et il en veut pour preuve «une situation sécuritaire préoccupante, un front social en ébullition, une crise grave du secteur de l’éducation, un immobilisme et une léthargie institutionnels» d’un côté, et des «réactions parcellaires et partielles de la population» de l’autre. Considérant que «le moment est venu pour un débat national sur la situation du pays et de ses perspectives», le responsable du FFS a affirmé qu’il y a un besoin de convaincre la société que «le nécessaire changement du système est une condition indispensable pour mettre fin à la corruption institutionnelle, au déni des libertés démocratiques et aux injustices sociales». Abordant les différents aspects de la vie nationale, il releva sur le plan sécuritaire «une accentuation de la violence à l’approche de l’élection présidentielle», alors que sur la situation économique et le front social «les conditions de vie et de travail de la population ne cessent de se dégrader. Le désespoir des jeunes, premières victimes de la crise sociale, qui recherchent à fuir leur condition sont dans la révolte au quotidien, la drogue, le suicide et l’émigration illégale». Et ce, constate-t-il, «malgré les ressources financières disponibles». Des réalités qui illustrent au yeux du responsable du FFS «la gravité de la situation». Sur le plan politique, il dresse un sévère constat : «Quelques mois après le scrutin législatif et quelques jours après le scrutin local, le pays replonge dans la léthargie et les manœuvres de coulisse et les «grenouillages» politiques», lit-on dans ladite déclaration,  ajoutant que «toutes les institutions vivent dans le marasme, l’impuissance et l’immobilisme». C’est pour cela, estime le premier responsable de ce parti, qu’il est «impératif d’engager le pays dans un processus de changement pacifique, négocié, progressif et ordonné». Un processus qui doit permettre «le retour de la confiance et doit déboucher sur une solution viable, durable et acceptable par tous les acteurs de la scène politique algérienne».         

Par Boudjemaâ Medjkoun.

In le jour d'algerie

source: http://www.lejourdalgerie.com/Editions/260108/une/Lejour.htm


17/09/2008
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PREMIÈRE SESSION DU CONSEIL NATIONAL DU FFS

Actualités : PREMIÈRE SESSION DU CONSEIL NATIONAL DU FFS
Sévère mise en garde de Karim Tabbou


Gare aux cadres du parti, aux membres du conseil national, en premier chef, qui auraient à l’idée de laisser échapper le moindre murmure aux relents contestataires ! Karim Tabbou, reconduit, comme attendu, dans sa fonction de premier secrétaire national du parti, entend sévir de toute son autorité, Hocine Aït Ahmed, le président, pris à témoin.
Sofiane Aït-Iflis - Alger (Le Soir) - Sévère mise en garde à l’encontre de toute velléité de rébellion contre la direction d’Alger du parti que celle formulée, en effet, hier matin par Karim Tabbou, à l’occasion de la tenue de la première session maintenue ouverte du conseil national du parti nouvellement élu. «Dorénavant, tous les débats seront enregistrés et à chaque fois qu’il y aura un manquement à la bienséance politique, au devoir d’hospitalité, je réagirai. Je ne permettrai plus que le FFS serve d’arène à la diatribe», a-t-il averti, la caution d’Aït Ahmed vraisemblablement acquise. Échaudé par l’expérience du conseil national sortant, où la sérénité n’a pas toujours été maîtresse des débats, le premier secrétaire national du FFS a entendu affermir son autorité, toute son autorité de prime abord. Et ce n’est pas pour le plaisir de l’extrapolation qu’il évoqua, en présence du chef, les turbulences que connut l’instance délibérante sortante. «Je voudrais évoquer aujourd’hui, devant le président du parti, l’ancien conseil national où certains cadres et membres ont passé leur temps à vouloir prendre des postes de responsabilité, des grades politiques au sein du FFS, ceci plutôt que de se consacrer à la tâche militante que leur recommandent leurs responsabilités», révéla, en effet, Tabbou, ajoutant que «dès que quelqu’un quittait le direction du parti, il en devient un farouche adversaire». Le propos du premier secrétaire national du FFS s’est voulu également une dénonciation de la fronde qui a émaillé le parti durant les mois écoulés. Il poursuivait aussi à mettre en exergue le sort réservé à ceux qui se poseraient à l’avenir en candidats à la contestation. Ahmed Djeddai et d’autres s’y sont vainement essayés. Le quatrième congrès des jeudi et vendredi passés les a précipités sans ménagement dans la déchéance organique. Et dans cela Aït Ahmed est pour quelque chose. Ils étaient tombés en disgrâce dès le moment où ils ont osé contester son choix de la direction d’Alger. Ceci s’avère d’autant plus vrai qu’Aït Ahmed a avoué son insatisfaction du conseil national sortant. «Je reconnais qu’il y a eu des dérives au sein même du conseil national précédent», a-t-il souligné, ajoutant que «les manipulations ne pouvaient pas nous contaminer. Le quatrième congrès a désormais dressé un mur contre la contamination, contre les pratiques qui ne sont pas les nôtres». Reprenant la parole après les mises en garde formulées par Karim Tabbou, le président du FFS devait encore préciser que le principe d’alternance à la direction du FFS est irréversible. «Il me semble que la vertue de l’alternance n’est pas bien comprise. L’expérience du PPA nous a appris qu’il ne faut pas laisser quelqu’un longtemps dans un poste de responsabilité.» Soit, mais ne reste-t-il pas lui-même inamovible, depuis 1963 ? A moins que ce théorème politique de Aït Ahmed ne serait valable que pour le reste des institutions de direction du parti. Cela étant, le leader du FFS s’est dit «malheureux de vivre ces moments de violence que le pays vient de connaître». Aussi a-t-il enchaîné par son leitmotiv de toujours : la solution politique pacifique. «Ça suffit avec la politique sécuritaire, puisque aucun résultat sécuritaire n’a été enregistré ».
S. A. I.

In le soir d'algerie Mardi 11 septembre 2007

source: http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2007/09/11/article.php?sid=58335&cid=2


17/09/2008
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IL TIENT SON CONSEIL NATIONAL DEPUIS HIER FFS prépare la rentrée politique

by L'expression - 05/07/2008
 
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Le Front des forces socialistes (FFS) tient, hier et aujourd'hui, la session ordinaire de son conseil national. Lors de ce rendez-vous, les militants et les responsables du parti abordent les questions liées à la conjoncture politique ainsi que celles liées à la situation sociale.
D'ailleurs, cette session est destinée à préparer la rentrée sociale prochaine. Pour le FFS, la prochaine rentrée s'annonce déjà très importante. Les responsables de cette formation ne cachent pas leur appréhension quant aux risques que peut engendrer la conjoncture actuelle du pays. Le FFS appelle à mettre, en urgence, les mécanismes nécessaires avant que la situation ne se dégrade.
Dans son allocution d'ouverture, Karim Tabbou, premier secrétaire du parti, réitère que cette session est décisive «pour la préparation de la rentrée de septembre 2008», qu'il qualifie de «porteuse d'échéances et d'événements importants».
M.Tabbou ajoute que «
le parti ne doit pas être acculé à gérer dans l'improvisation et l'urgence. Nous avons besoin de lucidité et d'anticipation. Nous devons définir des axes d'actions et de mobilisation dès maintenant.
Nous nous devons d'apparaître comme une force de proposition crédible devant l'opinion et nos partenaires politiques et sociaux.
» Comme la journée d'hier a été consacrée aux questions purement politiques, plusieurs communications ont été données par un bon nombre de conférenciers engagés dans le champ politique. S'agissant de la journée d'aujourd'hui, elle est réservée aux questions organiques. La synthèse des débats et des réflexions de cette rencontre sera donnée à l'occasion de la conférence de presse qu'animera M.Tabbou à l'issue de ce conseil.

source: http://www.emploialgerie.com/actualite/54143-il-tient-son-conseil-national-depuis-hier--ffs-prepare-la-rentree-politique.html


17/09/2008
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Le Conseil national du FFS s’est réuni hier(19/08/2008) à Ouzellaguene

Le Conseil national du FFS s'est réuni hier à Ouzellaguene

Posté par Benderouiche le 20 août 2008

haa1.jpgLe Front des Forces Socialistes (FFS) a réuni, hier, à Ouzellaguene (Béjaïa), son conseil national en session extraordinaire pour débattre de la la situation politique du pays. Dans un discours d'ouverture, le premier secrétaire du parti, Karim Tabbou, a exprimé la satisfaction du FFS à l'annonce de l'arrestation du commanditaire présumé du l'assassinat de Ali Mecili en avril 1987 à Paris. «Nous suivons de près l'évolution de cette affaire en espérant qu'il n'y aura pas d'intervention d'en haut pour l'étouffer », dira-t-il. 

Karim Tabbou a dénoncé de manière très forte  l'effroyable attentat qui a visé l'école de gendarmerie des Issers dans la wilaya de Boumerdes. «Cette recrudescence de la violence est liée aux blocages politiques du pays. L'Algérie est dans une situation de blocage intégral», a expliqué Karim Tabbou qui a appelé à l'ouverture d'un débat national «pour déterminer la nature de la crise qui secoue le pays ». 

Par ailleurs, l'orateur a dénoncé « le traitement policier » réservé au mouvement de protestation des enseignants contractuels, en grève de la faim depuis 38 jours. «L'administration doit engager un dialogue franc et sincère avec ces enseignants au lieu de recourir à la manipulation », a souligné Tabbou et d'ajouter que «quand on s'attaque à l'Education, c'est qu'on n'est pas soi-même éduqué». 

Concernant le boycott par le FFS de la réunion des maires avec le président Bouteflika, Karim Tabbou dira que cela participait de la volonté du parti de briser la politique de la terreur que fait régner l'administration sur les élus du peuple. « Ils veulent laisser l'espace institutionnel au Président seul. Aujourd'hui, aucune institution algérienne ne peut s'engager à clarifier le débat sur les prochaines échéances électorales », a déclaré Tabbou. Le sort que réserve le FFS à ses élus qui ont participé à la rencontre sera connu bientôt. « Les maires du FFS qui n'ont pas respecté les consignes de boycott répondront de leur acte bientôt devant le conseil national de médiation et de règlement des conflits », a précisé Karim Tabbou. Par ailleurs, l'orateur a estimé que le projet d'un nouveau découpage administratif visé à réaliser une surveillance totale de la population par un maillage policier plutôt que par la volonté d'assurer le développement des régions ciblées. 

Pour sa part, Ahmed Betatache, membre du secrétariat national du FFS a indiqué que depuis 1992, toutes les les initiatives menées par le pouvoir depuis l'arrêt du processus électoral de 1992, ont été vouées à l'échec. « Pour preuve, a souligné Betatache, le chef de l'Etat, lui-même, avoue l'échec de la politique prônée jusque-là par son équipe!". "La situation de marasme économique et la misère sociale qui gagne de pans entiers de la société algérienne sont accentuées par le climat de violence qui caractérise les luttes internes au sein du régime", fait-il remarquer.  Ahmed Betatache préconisera, au titre d'alternative politique, l'élection d'une assemblée constituante qui devrait être inspirée, selon lui, de la plate-forme de la Soummam qui consacrera une véritable République démocratique et sociale.
Synthèse d'El Mouhtarem

source:www.ffs1963.unblog.com


13/09/2008
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