Agenda et calendrier du FFS

Agenda et calendrier du FFS

 

Au niveau national :

1-     31 octobre 2009 : conférence nationale des jeunes et des étudiants à Alger.

2-     1 novembre 2009 : inauguration d’un mémorial des martyrs du  FFS  de 1963 au niveau du siège national.

3-     20 et 21 novembre 2009 : conférence national d’audit démocratique.

4-     11 décembre 2009 : forum des maires

5-     12 décembre 2009 : convention nationale thématique

6-     24 novembre 2009 : session du conseil national

7-     Octobre/novembre : conférence sur les « Harraga »

 

Au niveau fédéral (F de la W de Bouira) :

1-     9-10 octobre 2009 : conférence/rencontre fédéral des élus (locaux)

2-     15-16 octobre 2009 : déposition des candidatures au poste du 1er secrétaire fédéral de la W de Bouira

3-     23-24 octobre 2009 : congrès fédéral de la fédération de la w de Bouira.



09/10/2009
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Biographie de Belkacem Mellikeche

Afdhiss Ameshtoh Aqarbouzi

(le petit marteau Takerboustoi)

Belkacem Mellikeche dit Said connu sous le surnom Afdhiss Ameshtoh Aqarbouzi(F10A) dont il aime être appelé, né le 07 juin 1979 à M'chedallah, Algérie ; est membre du conseil national FFS élus depuis le 4em congres par la federation de la wilaya de Bouira(classé le 2em en nombre de voix, dépassé d'une vois par le premier élu)

Des son jeune age dévoreur de livre(esprit livrevor) était un meneur d'homme et passionné d'organisation et d'Histoire avec une conscience politique et sociale vif et aigue.

Alors qu'il était jeune étudiant lycéen au lycée Zouzamen à M'Chedallah, Belkacem crée avec d'autre jeunes une organisation politique nommée « PIA de Reforme » (PIA = Progrès Islamique Amazigh) et cela pendant la période ravageante du terrorisme que vivait l'Algérie pendant. Il participa dans le même lycée en 1995 avec Khabar Yazid , Betatache Nadhir, Ihedaden Karim et autres à la manifestation et la marche des lycéens  à M'Chedallah pour l'officialisation de la langue berbère (Tamazight) dans la nouvelle constitution de Liamine Zeroual président d'état Algérienne en exercice. Une marche réprimée en violence par les autorité en déployant des militaires de l'ANP devant le lycée Nasredine M' Chedali et qui ont tiré des cous de feus avec balle réelles pour disperser les lycéens.

Son expérience et ses observations l'ont amener à la raison et à abandonner son projet d'atteindre le pouvoir(pour que l'Algérie soit vraiment pour tous les Algérien et avec tous les Algérien Humainement pour toute l'Humanité) avec un coût d'état par le PIA de Réforme et il adopta la voix de la non violence après avoir la convection que la violence engendre toujours une autre même lorsque elle n'est que le moyen du bien comme bute à atteindre. Cependant il à planifier avec son amis de toujours Tamsaouet Zaid, d'afficher une déclaration sous l'égide d'un autre mouvement politique nommé «  le Front de Libération Amazigh »(FLA) pendant  les élections présidentielle d'Algérie en 1999. Le document de la déclaration du FLA servira de forme pour la rédaction de la déclaration Liberalo-Socialiste.

Peu après, Belkacem joignait le FFS de Ait Ahmed, puis il effectuera son service national de 1999 jusque à sept 2001 à Ain Arnet à Sétif et à Ain Amguel à Tamanrasset.

Il occupa ensuite plusieurs responsabilité dans le Mouvement Citoyen de 2001 (les Aarchs).

Actuellement, Belkacem est toujours membre du FFS et vie toujours dans son village natal Takerboust.


17/09/2008
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commentaire sur FFS1963

Lakhdar Bouregaa “Nous avions besoin d’un homme à suivre et Hocine Aït-Ahmed s’était bien distingué”

belkacem mellikeche

1 octobre, 2009 | 20:17

je crois bien que le mal du FFS c’est la mentalité de ces militants.il y a boucaup de militantisme enfantiliste: faire tourner la politique au tour des personnes et non au tour des idées; c’est sa l’enfantilisme et bien sure,on n’oubliant pas qu’il est toujour accompagné par un Egocentrisme d’opinion.il faut dépasser sa.le FFS n’est pas un but en lui meme,mais est un moyen.il est des idées principes,idées objectifs,idées moyens et idées maniéres et méthodes..etc.les hommes sont les serviteurs et les précurseurs de ces idées,parcequ’ ils les considéres les leurs en convictions et en opinions et positions. arreter la dépense négative d’une energie militante qui est plus utile pour produire et enrichir ces idées et considérations par priorités.il faut toujours essayer de réorionter les débats que des militants font tourner au tour des personnes(surtout sur ce blog)au tour des idées en ne pas tomber dans les pieges de débats inutiles dans leur fonds, brillants avec leur utilisabilité dans leur formes.on juge jamais des personnes-surtout dans l’absolu-, mais en juges des actes des personnes et leurs positions dans des cerconstances précises par apport à une ligne de conduit fallus dont il est capable et engagé à la tenir avec une volonté affiché sans contraintes.toujour on a des opinions sur des personnes.un jugement consiste des preuves pour une comdantion qui touche l’acte précis seulement;pas les d’autres actes de la personne en dehor de celui qui est commis.

source: http://ffs1963.unblog.fr/2009/09/30/lakhdar-bouregaa-nous-avions-besoin-dun-homme-a-suivre-et-hocine-ait-ahmed-setait-bien-distingue/#comments


09/10/2009
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CONJONCTURE SOCIOPOLITIQUE ET ÉCONOMIQUE DE L’ALGÉRIE

Le FFS appelle à un dialogue national
26 Janvier 2008 - Page : 4
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Le premier secrétaire national estime que le changement se fera avec l’ensemble des forces politiques et sociales du pays.

Le Front des forces socialistes (FFS) se dit préoccupé par la conjonction socioéconomique et politique de l’Algérie. «Le pays vit une situation paradoxale. D’un côté, une situation sécuritaire préoccupante, un front social en ébullition, une grave crise de l’éducation; de l’autre, on ne peut qu’être frappés par les réactions parcellaires et partielles de la population», a estimé le premier secrétaire national du FFS, Karim Tabbou, lors d’un point de presse animé, jeudi dernier, au siège du parti, avant l’ouverture de la session ordinaire du conseil national du parti. Le 1er responsable du plus vieux parti de l’opposition algérienne explique le manque d’intérêt manifesté par les parents devant la situation de leurs enfants lycéens ou étudiants par «les promesses non tenues par les responsables, l’espoir brisé, mais aussi par la décadence et la régression du pays». Karim Tabbou estime, en outre, que le moment est venu pour l’ouverture d’un débat national autour de la situation du pays et de ses perspectives. Aux yeux du premier secrétaire national du FFS, la situation générale du pays ne cesse de dégringoler. Ainsi, au plan économique et social, «l’état de la population continue de se dégrader. Malgré les ressources financières disponibles, les conditions de vie et de travail de la population ne cessent de se détériorer». constate M.Tabbou. Au plan politique, ce dernier dresse un tableau des plus sinistres. «Quelques mois après le scrutin législatif et quelques jours après le scrutin local, le pays replonge dans la léthargie et les manoeuvres de coulisses. Toutes les institutions vivent dans le marasme, l’impuissance et l’immobilisme.»
Bref, pour le premier secrétaire national du FFS, le pays est mis à l’arrêt à tous points de vue. Rien ne va plus. Quelle est la solution que le FFS propose pour atteindre le bout du tunnel? Karim Tabbou la résume en deux phrases: «Ce changement ne peut se faire sans la population, à plus forte raison, contre la population.» Par ailleurs, outre la situation du pays, le conseil national du Front des forces socialistes s’est consacré à la restructuration interne du parti. Ainsi, à l’issue des travaux de cette session ordinaire que le parti a tenue durant ce week-end, seront connus les membres du secrétariat national du FFS. Une conférence de presse à même de présenter la nouvelle équipe de Karim Tabbou sera organisée aujourd’hui ou demain au siège national du parti.

Hakim KATEB

In l'Expression

source: http://www.lexpressiondz.com/article/2/2008-01-26/49235.html


17/09/2008
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Conseil national du FFS

Cinq mois après le 4e congrès du parti qui s’est tenu les 5 et 6 septembre dernier, le premier secrétaire national du FFS, Karim Tabbou, a enfin désigné son secrétariat national.

Les raisons de ce retard sont dues à la crise qui mine encore le FFS, affirment des sources proches de ce parti, tandis que M. Tabbou a indiqué jeudi qu’«il n’y a aucun problème au FFS». Hier en fin d’après-midi, aucune information n’a filtré quant à l’identité de la composante de la nouvelle équipe. Une source proche du conseil national du FFS s’est contentée d’affirmer que celle-ci «est composée d’anciens secrétaires nationaux reconduits ainsi que de nouveaux désignés parmi les membres du conseil national». La composante du nouveau staff sera dévoilée dimanche lors d’une conférence de presse qui sera organisée par le premier secrétaire du parti.   Par ailleurs et dans une déclaration préliminaire faite à l’ouverture des travaux de ce conseil national, Tabbou a estimé que

«le pays vit une situation paradoxale». Et il en veut pour preuve «une situation sécuritaire préoccupante, un front social en ébullition, une crise grave du secteur de l’éducation, un immobilisme et une léthargie institutionnels» d’un côté, et des «réactions parcellaires et partielles de la population» de l’autre. Considérant que «le moment est venu pour un débat national sur la situation du pays et de ses perspectives», le responsable du FFS a affirmé qu’il y a un besoin de convaincre la société que «le nécessaire changement du système est une condition indispensable pour mettre fin à la corruption institutionnelle, au déni des libertés démocratiques et aux injustices sociales». Abordant les différents aspects de la vie nationale, il releva sur le plan sécuritaire «une accentuation de la violence à l’approche de l’élection présidentielle», alors que sur la situation économique et le front social «les conditions de vie et de travail de la population ne cessent de se dégrader. Le désespoir des jeunes, premières victimes de la crise sociale, qui recherchent à fuir leur condition sont dans la révolte au quotidien, la drogue, le suicide et l’émigration illégale». Et ce, constate-t-il, «malgré les ressources financières disponibles». Des réalités qui illustrent au yeux du responsable du FFS «la gravité de la situation». Sur le plan politique, il dresse un sévère constat : «Quelques mois après le scrutin législatif et quelques jours après le scrutin local, le pays replonge dans la léthargie et les manœuvres de coulisse et les «grenouillages» politiques», lit-on dans ladite déclaration,  ajoutant que «toutes les institutions vivent dans le marasme, l’impuissance et l’immobilisme». C’est pour cela, estime le premier responsable de ce parti, qu’il est «impératif d’engager le pays dans un processus de changement pacifique, négocié, progressif et ordonné». Un processus qui doit permettre «le retour de la confiance et doit déboucher sur une solution viable, durable et acceptable par tous les acteurs de la scène politique algérienne».         

Par Boudjemaâ Medjkoun.

In le jour d'algerie

source: http://www.lejourdalgerie.com/Editions/260108/une/Lejour.htm


17/09/2008
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